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Le marché immobilier en septembre 2025 en France : tendances et prévisions

Marché immobilier
28/08/2025
Le marché immobilier en septembre 2025 en France : tendances et prévisions

En cette rentrée 2025, le marché immobilier français montre des signaux positifs, entre stabilisation des taux de crédit et reprise partielle des transactions. Après un été marqué par un regain d’activité, les acheteurs et vendeurs scrutent les premières tendances de septembre pour ajuster leurs projets. Dans cet article, nous décryptons l’état et les tendances du marché immobilier en septembre 2025, les prix, les volumes, les conditions de financement, et les perspectives à court terme, avec nos conseils pour les acquéreurs et les propriétaires vendeurs.


Une rentrée dynamique après un été encourageant

Après plusieurs mois de prudence sur le marché immobilier en France, la rentrée de septembre 2025 est encourageante. Portée par une légère reprise de l’activité pendant l’été, la dynamique se confirme dans les premières semaines de septembre avec des signaux positifs observés dans l’ancien comme dans le neuf. Les acheteurs reviennent, les ventes repartent à la hausse et l’offre se structure progressivement. Retour sur les facteurs qui expliquent ce regain de vitalité à la rentrée 2025.

Un rebond des ventes immobilières à l'été 2025

Les mois de juillet et août 2025 ont permis au marché immobilier français de reprendre un certain souffle. Après un premier semestre encore marqué par la prudence des ménages et la frilosité des établissements bancaires, les chiffres publiés fin août par plusieurs réseaux nationaux, dont Optimhome, montrent un rebond des ventes de près de 30 % par rapport au printemps.

Plusieurs facteurs expliquent ce redémarrage : la stabilisation des taux d’intérêt depuis juin, des prix plus raisonnables dans certaines régions et un retour de la confiance des acquéreurs. Cette reprise de la demande s’est accompagnée d’un raccourcissement des délais de vente dans les zones les plus dynamiques, notamment les métropoles régionales (Nantes, Bordeaux, Lyon) et certaines zones périurbaines très recherchées.

Les acheteurs les plus réactifs ont pu bénéficier de marges de négociation intéressantes en juillet et août, notamment sur des biens affichés depuis plusieurs mois. La rentrée confirme cette dynamique : les porteurs de projets sont de retour, bien informés, prêts à visiter et à faire des offres.

L’offre de biens immobiliers anciens est en progression en septembre 2025

Autre élément structurant de cette rentrée 2025 : l’augmentation notable de l’offre de logements anciens sur le marché. Beaucoup de propriétaires qui avaient reporté leur mise en vente durant la période de forte remontée des taux, reviennent aujourd’hui avec des biens prêts à être commercialisés.

Ce phénomène s’explique par une conjonction de facteurs :

  • des vendeurs rassurés par la stabilisation du marché,
  • une meilleure lisibilité des prix,
  • et la volonté de profiter du regain de la demande pour vendre dans de bonnes conditions.

Résultat : le stock de biens à vendre repart à la hausse, en particulier sur les marchés résidentiels classiques. Cette nouvelle abondance d’offres vient soulager la tension observée depuis plus d’un an dans certaines zones. Elle permet aux acheteurs d’avoir plus de choix, tout en relançant la concurrence entre vendeurs, ce qui peut encourager des ajustements de prix réalistes.

Dans les grandes agglomérations, la diversité de l’offre permet aussi aux familles, primo-accédants et investisseurs de mieux se positionner selon leurs besoins et leur budget. La rentrée 2025 s’ouvre donc sur un équilibre plus sain entre l’offre et la demande — un signal fort pour la suite du dernier trimestre.


Quelles sont les tendances du marché immobilier en septembre 2025 ?

L’analyse des tendances du marché immobilier en cette rentrée 2025 permet de mieux cerner les dynamiques en jeu à l’échelle nationale et locale. En sortie de période estivale, marquée par une reprise progressive, le marché immobilier français semble s’orienter vers une stabilisation des prix, avec des disparités selon les régions, les types de biens et les profils d’acheteurs. Le climat reste prudent, mais les signaux sont davantage encourageants qu’à la même époque l’an dernier.

Les prix de l’immobilier en septembre 2025 : stabilité globale, contrastes locaux

Sur l’ensemble de la France, les prix de l’immobilier en septembre 2025 restent globalement stables par rapport au mois d’août. Selon les dernières observations terrain relayées par le réseau Optimhome et les indicateurs notariaux locaux, les appartements anciens et maisons individuelles conservent des niveaux de prix modérés dans la plupart des zones, après les fortes diminutions enregistrées début 2024 et début 2025.

Les grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux ou Lille voient leurs prix se maintenir, voire repartir légèrement à la hausse, portées par la reprise de la demande dans les quartiers bien desservis. En Ile-de-France, le recentrage des acheteurs sur des zones moins tendues (grande couronne, Seine-et-Marne, Essonne) soutient une légère revalorisation des prix de transaction.

En revanche, certaines zones rurales ou marchés secondaires souffrent encore d’un excès d’offre ou d’un déficit de demande. Les délai de vente y restent longs, en particulier pour les biens avec travaux ou mal situés. Dans les régions comme les Alpes-Côte d’Azur ou la Provence-Alpes, les marchés touristiques conservent leur attractivité mais les acheteurs négocient davantage.

Globalement, on observe une tendance de fond à la décorrélation entre le prix affiché et le prix réellement négocié. Les acheteurs potentiels sont mieux informés, attentifs aux conditions de financement, et prêts à faire des offres en deçà du prix initial.

Une demande en reprise mais encore sélective dans le secteur immobilier français

La rentrée 2025 marque aussi le retour progressif des acheteurs, notamment des primo-accédants et de certains investisseurs locatifs. Ce regain d’intérêt est soutenu par la stabilisation des taux d’intérêt, une meilleure visibilité sur l’évolution du marché immobilier, et la volonté de se positionner avant une possible hausse des prix dans les prochains mois.

Les primo-accédants sont particulièrement actifs sur les zones périurbaines où le pouvoir d’achat immobilier reste accessible. Ils ciblent des biens prêts à habiter, à proximité des transports et des bassins d’emploi. Le retour à une situation professionnelle stable et la constitution d’un apport redeviennent des conditions d’accès au crédit pour ce public.

Du côté des investisseurs, on observe une sélectivité accrue : ils privilégient des biens avec bon rendement locatif dans des secteurs tendus du marché de la location, ou avec fort potentiel de revalorisation à moyen terme. La tendance des prochains mois sera donc très liée à la capacité du marché à attirer ces profils grâce à des produits adaptés.

Enfin, la construction de logements reste en repli dans de nombreuses régions, ce qui renforce l’intérêt pour le marché de l’ancien et peut peser sur l’équilibre entre offre et demande à moyen terme. Cette situation pourrait créer un effet de rareté dans certaines communes dynamiques dès la fin 2025.

En conclusion, le marché immobilier à la veille de l’automne 2025 présente un visage contrasté : dynamique dans les zones actives, encore fragile ailleurs, mais clairement sorti de la marche sur pause estivale. La tendance est à la reprise modérée, portée par une offre mieux calibrée et une demande plus confiante.


Quelle est la situation du crédit immobilier en septembre 2025 ?

Le marché du crédit immobilier poursuit sa trajectoire de stabilisation entamée au printemps. En cette rentrée 2025, les taux d’intérêt se maintiennent à des niveaux modérés, après une année 2024 marquée par une période de forte remontée. Pour les emprunteurs, la situation reste plus favorable que l’an dernier : les conditions de financement s’assouplissent légèrement, tandis que les établissements bancaires reprennent une politique plus active d’octroi des prêts immobiliers.

Si la prudence reste de mise, les signaux sont positifs pour les porteurs de projets immobiliers.

Des taux moyens stables et compétitifs en septembre

D’après le baromètre des taux actualisé fin août 2025, les taux d’intérêt moyens pour les crédits immobiliers varient entre 2,99 % et 3,29 % selon les durées d’emprunt :

  • 10 ans : 2,99 %
  • 15 ans : 3,11 %
  • 20 ans : 3,18 %
  • 25 ans : 3,29 %

Ces taux moyens traduisent une stabilisation après la légère hausse observée entre juin et juillet. Pour les meilleurs dossiers (revenus confortables, apport personnel élevé, situation professionnelle stable), il est possible d’obtenir des taux fixes bien en dessous de la moyenne, proches de 2,80 % sur 20 ans. Certains nouveaux clients ayant un excellent profil peuvent même négocier un taux nominal compétitif auprès de leur banque.

Malgré cette amélioration, les banques continuent à examiner de près le taux d’endettement, les dépenses fixes, le coût total du projet et les garanties. Le retour d’une capacité d’emprunt plus élevée pour certains ménages redonne toutefois un second souffle aux projets en suspens.

Un accès à l'emprunt immobilier plus fluide, bien que toujours sélectif

Les établissements bancaires restent sélectifs dans leurs critères d’octroi, mais le marché bénéficie d’un effet psychologique positif depuis les signaux envoyés par la Banque centrale européenne en juin, qui a abaissé ses taux directeurs de 25 points. Cette décision a marqué un tournant, renforçant la confiance des acheteurs et des courtiers.

En septembre, les banques cherchent à relancer leur production de crédit à l’habitat, après une année 2023-2024 marquée par un recul historique. Elles assouplissent certains critères, en particulier pour les profils jeunes ou les primo-accédants avec un bon potentiel de revenus à moyen terme.

Cependant, les ménages doivent toujours anticiper des frais annexes (garantie, assurance emprunteur, frais de notaire) et bien comprendre les éléments d’un crédit pour simuler leur capacité d’emprunt réelle. Il est conseillé de comparer les offres via le Taux Annuel Effectif Global (TAEG), afin d’intégrer l’ensemble des coûts dans la décision.

Enfin, la durée de remboursement reste un levier d’ajustement : de nombreux emprunteurs privilégient le 25 ans pour alléger leur mensualité, même si cela alourdit le coût total du crédit. D'autres préfèrent réduire leur durée en optant pour un apport plus conséquent.

En résumé : septembre 2025 marque une amélioration notable des conditions de crédit immobilier, sans pour autant revenir aux facilités d’avant 2022. Les acheteurs bien préparés, dotés d’un projet immobilier cohérent et d’un bon dossier, retrouvent des marges de négociation réelles auprès des banques.


Quel impact de l'évolution du marché immobilier pour les acquéreurs en septembre 2025 ?

Après plusieurs trimestres d’attentisme, les acheteurs reviennent progressivement sur le marché immobilier français. La stabilisation des taux d’intérêt, la légère hausse de l’offre de biens disponibles et une meilleure visibilité sur les conditions de financement créent un climat plus propice aux décisions d’achat. Mais tous les profils ne bénéficient pas encore des mêmes opportunités. Voici ce que doivent savoir les primo-accédants, les familles, les investisseurs ou encore les candidats à l’achat de résidence principale ou secondaire.

Primo-accédants : des conditions de retour progressif

Les primo-accédants ont été particulièrement touchés par la crise de l’accession à la propriété. En septembre 2025, leur retour sur le marché est encouragé par plusieurs éléments : une meilleure maîtrise des délai de vente, des prix parfois plus accessibles dans certaines grandes villes, et des dispositifs bancaires mieux adaptés à leurs profils (avec un apport limité, mais un revenu par ménage évolutif).

Toutefois, l’apport personnel reste souvent requis, et le pouvoir d’achat immobilier demeure contraint dans de nombreuses zones tendues. Les villes moyennes, la périphérie urbaine ou les secteurs en développement (comme certaines zones du Provence-Alpes) offrent davantage de possibilités.

Acheteurs familiaux : une offre qui s’élargit

Les acheteurs à la recherche de maisons individuelles bénéficient d’une amélioration de l’offre, notamment en périphérie ou dans des communes rurales bien desservies. Le ralentissement de l'activité dans la construction de logements neufs a favorisé un retour de la demande sur le parc existant, en particulier les appartements anciens avec extérieur.

Les familles sont également attentives aux délai de vente et à l’état du bâti. Dans certains départements, les notaires signalent une accélération des compromis signés sur des biens à fort potentiel, rénovés ou bien placés. Cette tendance est particulièrement visible dans des secteurs comme la Nouvelle-Aquitaine ou les Hauts-de-France.

Investisseurs locatifs : une stratégie à ajuster

Du côté des investisseurs locatifs, le marché présente des opportunités… mais aussi de nouvelles contraintes. La hausse de la fiscalité locale dans certaines métropoles, combinée à une réglementation plus stricte (performance énergétique, encadrement des loyers), oblige à reconsidérer les projections de rentabilité.

Cela n’empêche pas certains investisseurs institutionnels ou indépendants de se positionner à bon compte, notamment dans des villes de province ou des zones en mutation. La demande reste forte dans le marché de la location, notamment pour les biens bien situés, bien classés sur le plan énergétique, et proches des bassins d’emploi.

Résidences secondaires et achats plaisir : prudence et opportunités

L’achat de résidence secondaire reste en retrait par rapport aux années post-Covid. Les arbitrages budgétaires, la hausse des prix dans certaines zones côtières ou de montagne et l’augmentation des taxes locales poussent les acheteurs à la prudence. Toutefois, les délai de vente plus longs permettent parfois de négocier des remises significatives dans les zones de villégiature moins tendues.

Certains acquéreurs restent sensibles à la projection d’un usage mixte (location saisonnière + occupation personnelle) pour rentabiliser leur achat. Cette cible reste active sur le marché malgré le contexte.

Profils premium : toujours actifs, mais plus sélectifs

Enfin, les acheteurs nets à fort pouvoir d’achat, non dépendants d’un crédit à l’habitat, continuent à animer une partie du marché. Ils ciblent les biens rares, situés dans des quartiers recherchés, ou encore des biens atypiques. Pour ces profils, les conditions de financement ont peu d’impact, mais la hausse des prix et le manque d’offres haut de gamme peuvent les rendre plus exigeants.

À retenir : En septembre 2025, l’ensemble de la France connaît une reprise progressive du côté des acheteurs potentiels, avec des dynamiques contrastées selon les profils. Les primo-accédants reviennent avec prudence, les familles saisissent les opportunités dans l’ancien, et les investisseurs ajustent leurs stratégies face aux nouvelles règles fiscales et réglementaires.

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Quelles stratégies adopter pour les vendeurs en septembre 2025 ?

Alors que le marché immobilier français connaît une reprise timide mais progressive, les vendeurs doivent faire preuve d’adaptation pour répondre aux nouvelles attentes des acheteurs. La rentrée marque un retour d’activité dans de nombreuses régions, mais la réussite d’une vente dépend largement de la stratégie de mise en marché, de la connaissance des délais et de la réalité locale des prix. Voici les conseils clés pour tirer parti de la conjoncture actuelle.

Adapter son prix au contexte local et aux délais de vente

En septembre 2025, l’un des leviers essentiels pour réussir une vente est d’ajuster le prix de mise en vente en fonction du marché réel, et non des ambitions du passé. Les données des notaires-INSEE et les estimations des agences immobilières montrent des écarts persistants entre le prix affiché et le prix de transaction dans plusieurs départements. En conséquence, les acheteurs potentiels négocient plus volontiers, et les délai de vente s’allongent pour les biens mal positionnés.

Il est donc crucial d’analyser les références récentes dans votre secteur (notamment par notaire par département ou via un conseiller immobilier local), et de prendre en compte la période actuelle, marquée par une forme d’évolution du marché immobilier mais encore loin d’une franche reprise.

Bon à savoir : dans plusieurs zones tendues, les biens au juste prix se vendent en moins de 45 jours, contre 90 jours et plus pour ceux surestimés. Le délai moyen reste autour de 70 à 80 jours à l’échelle nationale.

Valoriser le bien en fonction des attentes actuelles des acheteurs

Les attentes des acheteurs résidentiels ont évolué ces derniers mois. En septembre 2025, les profils recherchent des biens :

  • sans gros travaux (rénovation énergétique en tête),
  • avec un bon DPE (critère devenu décisif pour l’investissement locatif ou l’achat de résidence principale),
  • bien localisés (proche des transports, bassins d’emploi ou commodités),
  • avec extérieur (notamment pour les appartements anciens).

Les investisseurs ou familles ciblent davantage les maisons individuelles avec bon rendement potentiel ou modularité d’usage. Dans ce contexte, mettre en avant les atouts objectifs du bien est indispensable. Cela inclut :

  • un diagnostic technique clair et à jour,
  • des photos professionnelles,
  • une mise en valeur des performances énergétiques ou des équipements modernes (pompe à chaleur, isolation, domotique...),
  • une transparence sur les charges, la fiscalité locale ou les travaux à venir.

Enfin, si votre bien s’adresse à des primo-accédants, pensez à les rassurer sur la possibilité de financer le projet (ex. : éligibilité au prêt à taux zéro, conditions de financement avantageuses avec certaines banques locales, projection de mensualité...).

À retenir :

  • Les vendeurs doivent adapter leur prix de vente à la réalité du terrain pour limiter les délai de vente.
  • La présentation du bien, son état technique et ses performances énergétiques sont devenus décisifs.
  • Les acheteurs sont mieux informés, plus prudents et souvent plus sélectifs qu’avant la crise.
  • Un accompagnement par un professionnel de l’immobilier local (conseiller Optimhome, notaire, expert en estimation) reste un atout clé pour sécuriser la transaction et conclure dans les meilleurs délais.
  • Vous souhaitez vendre ou connaître la valeur de votre maison ou appartement ? Commencez par une estimation immobilière en ligne !


Conclusion – Ce qu’il faut retenir sur le marché immobilier en septembre 2025

Le mois de septembre marque une rentrée immobilière placée sous le signe de l’ajustement et de l’espoir modéré. Si le marché immobilier français reste contrasté selon les territoires et les typologies de biens, plusieurs signaux confirment une lente reprise, notamment du côté des transactions et de la confiance des ménages.

Voici les 5 points essentiels à retenir :

Légère reprise des ventes : après plusieurs trimestres de baisse, le volume de transactions repart à la hausse dans de nombreuses villes, notamment grâce à un retour progressif des acheteurs sur le marché.

Taux d'intérêt stabilisés : la stabilisation des taux de crédit immobilier, autour de 3 % en moyenne, offre un cadre plus lisible aux emprunteurs et soutient les projets en cours.

Prix encore sous pression : les prix se stabilisent dans certaines grandes métropoles, mais continuent de baisser légèrement dans les zones tendues ou rurales. L’ajustement est toujours en cours.

Retour des primo-accédants et investisseurs : les signaux de reprise incitent de plus en plus de ménages à concrétiser leur projet immobilier, notamment grâce à de meilleures conditions de financement.

Vendre ou acheter en étant bien accompagné : que vous soyez vendeur ou acquéreur, le recours à un conseiller immobilier de proximité, comme ceux du réseau Optimhome, reste un levier essentiel pour réussir dans un marché encore instable.

Vous avez un projet immobilier pour la rentrée ? Contactez votre conseiller immobilier Optimhome local pour vous accompagner dans l’estimation de votre bien, la recherche de votre future maison, appartement, terrain ou local professionnel, la négociation ou la sécurisation de votre achat ou vente immobilière.


A lire également pour aller plus loin :


FAQ : questions fréquentes sur le marché immobilier

Quand le marché immobilier va-t-il baisser ?

La baisse des prix de l’immobilier dépend des conditions locales, des taux d’intérêt, de la demande et de l’offre. Si certains territoires affichent déjà des ajustements, une baisse généralisée n’est pas encore observée sur l’ensemble de la France.

Quelle est la tendance du marché immobilier en ce moment ?

Le marché immobilier français connaît une stabilisation en septembre 2025, avec une reprise progressive des ventes et une relative stabilité des taux d’intérêt. La tendance actuelle est à l’ajustement plutôt qu’au rebond massif.

Comment fonctionne le crédit immobilier ?

Le crédit immobilier permet d’emprunter une somme pour financer un achat immobilier. Il repose sur un contrat entre l’emprunteur et une banque, avec des conditions précises : durée, taux d’intérêt (fixe ou variable), mensualités, TAEG et garanties.

Comment fonctionne le marché immobilier ?

Le marché immobilier repose sur l’offre (biens en vente), la demande (acheteurs potentiels), et des facteurs économiques comme les taux, la conjoncture et la fiscalité. Il fluctue en fonction des taux d’intérêt, du pouvoir d’achat et de la confiance des ménages.

Comment fonctionnent les taux immobiliers ?

Les taux immobiliers dépendent des politiques monétaires (notamment celles de la BCE), du profil de l’emprunteur et des conditions de marché. Ils déterminent le coût total d’un crédit immobilier et influencent directement la capacité d’emprunt.

Le marché immobilier actuel risque-t-il de s'effondrer ?

À ce jour, aucun effondrement n’est à prévoir. Le marché connaît des ajustements de prix, mais l’offre reste maîtrisée et la demande structurelle soutenue, notamment dans les grandes villes. On parle plutôt d’atterrissage en douceur que de crise brutale.

Quand le marché immobilier français va-t-il reprendre ?

Des signes de reprise sont déjà perceptibles en septembre 2025 : hausse des compromis signés, stabilité des taux, retour progressif des acheteurs. Une reprise plus franche dépendra de la poursuite de la détente sur le crédit et de la confiance des ménages.

Quelle est l’évolution des prix de l’immobilier en 2025 ?

En 2025, l’évolution des prix de l’immobilier varie fortement selon les territoires. Si certaines zones tendent vers une légère hausse (notamment en périphérie urbaine), d’autres, comme les centres-villes, enregistrent une stabilisation ou une baisse modérée des prix.

Quelle est la situation du marché immobilier à Paris en septembre 2025 ?

Le marché immobilier à Paris reste tendu, avec des prix globalement élevés mais en léger repli depuis plusieurs mois. La demande reste soutenue, mais les délais de vente s’allongent légèrement, notamment pour les biens à rénover ou mal situés.

Où consulter l’historique de vente immobilière d’un bien ?

L’historique de vente immobilière peut être consulté via la base DVF (Demande de Valeur Foncière), mise à disposition par les services publics. Elle permet de vérifier les transactions récentes dans une zone géographique donnée, y compris pour un bien précis.

L’évolution des prix de l’immobilier est-elle la même partout en France ?

Non, l’évolution des prix de l’immobilier est très hétérogène selon les régions. Les grandes métropoles comme Lyon, Nantes ou Bordeaux montrent des dynamiques différentes de celles des zones rurales ou des petites villes.

Le marché immobilier à Paris est-il encore attractif pour les investisseurs ?

Malgré une rentabilité locative plus faible qu’en province, le marché immobilier à Paris reste attractif pour certains profils d’investisseurs, en raison de sa résilience, de sa liquidité et de son potentiel de valorisation à long terme.



Auteur de la publication

Fabrice DOBROWOLSKI, Directeur de l’animation du réseau Optimhome

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