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Devenir propriétaire : comment réussir son premier achat immobilier ?

Achat
20/08/2025 - 8 min de lecture
Devenir propriétaire : comment réussir son premier achat immobilier ?


Devenir propriétaire est souvent le point d’orgue d’un projet de vie, la première pierre d'un patrimoine immobilier, que ce soit en achetant sa résidence principale ou par un premier investissement locatif. Réussir son premier achat immobilier demande de combiner préparation financière, vérifications juridiques et choix de bien adaptés à vos besoins. Dans cet article complet, Optimhome vous explique les étapes essentielles pour sécuriser votre premier achat et concrétiser votre projet en tant que primo-accédant. Contactez votre conseiller immobilier local pour réussir votre accession à la propriété.

Comprendre les fondamentaux de l’achat d’un bien immobilier pour devenir propriétaire

Avant de vous lancer, il est indispensable de bien comprendre ce que signifie devenir propriétaire : vous allez acquérir le droit de propriété du logement, avec les avantages (stabilité, valorisation du patrimoine, liberté de travaux) mais aussi des responsabilités (entretien habitation, paiement des taxes, respect des règles de copropriété).

Les bonnes questions à se poser avant d'acheter une maison, un appartement ou un terrain

Le choix du type de bien influence fortement le montage du projet : un achat neuf (achat neuf) offre des garanties constructeurs et des performances énergétiques récentes, tandis qu’un achat ancien peut proposer plus de cachet et parfois un prix au m² inférieur, mais implique souvent des travaux et une expertise logement approfondie.

Entre maison individuelle et appartement en copropriété, les conséquences diffèrent : la maison implique généralement des charges d’entretien directes, l’appartement entraîne des charges copropriété et un cadre réglementaire (règlement de copropriété, syndic).

Cerner précisément si votre projet d'achat immobilier vise une résidence principale ou un investissement locatif vous permettra d’orienter le financement, la localisation et les critères de choix. Ne négligez pas les diagnostics immobiliers obligatoires (DPE, plomb, amiante, etc.) et la nécessité d’une expertise si le bien présente des particularités.

Enfin, pensez à l’entretien de votre habitation dans le futur : la rentabilité et la sérénité après achat passent par une vision réaliste des coûts d’exploitation et des travaux éventuels.

Primo-accédant : anticiper ses besoins et bien définir son projet immobilier

En tant que primo-accédant, définissez d’abord votre projet immobilier en listant vos priorités :

  • localisation (proximité transports, écoles, commerces),
  • surface habitable nécessaire,
  • nombre de pièces,
  • luminosité,
  • étage,
  • critères techniques (isolation, chauffage), etc.

Estimez votre budget immobilier à partir de votre capacité d’emprunt : calculez revenus nets, charges existantes et taux d’endettement maximal (souvent autour d’un tiers des revenus, selon les banques).

Une estimation financière réaliste intègre aussi l’apport personnel disponible et les aides possibles. Fixer ces éléments évite de perdre du temps en visites inutiles et limite le risque de compromis imposés par la contrainte budgétaire.

Enfin, formalisez votre projet immobilier (durée de vie dans le logement, éventuelle revente ou transformation en investissement locatif) pour orienter les choix de financement et le type de bien recherché. Vous savez quel type de bien et dans quel secteur géographique rechercher ? Consultez nos annonces immobilières dans toute la France pour trouver votre bonheur !

Les étapes clés avant la signature : visites, diagnostics et vérifications

Les visites immobilières sont une étape centrale : préparez une check‑list technique et juridique pour comparer les biens (état général, points d’humidité, isolation, chaudière, compteur, nuisances sonores).

Lors de chaque visite, demandez à voir les diagnostics immobiliers obligatoires — DPE, état plomb, amiante, état des risques, etc. — et vérifiez les dates ainsi que la cohérence avec l’état apparent. Sur un bien en copropriété, réclamez les procès‑verbaux d’assemblées générales pour identifier travaux votés, montant des charges copropriété et éventuelles procédures en cours.

Vérifiez la situation juridique du bien : existence d’hypothèque, servitudes, absence de litige foncier ou urbanistique. Si nécessaire, faites appel à une expertise logement (diagnostic approfondi ou inspection technique) pour les maisons anciennes ou biens présentant des signes d’usure.

Posez systématiquement des questions précises lors des visites : montant moyen des charges, consommation énergétique réelle, travaux récents, conformité des installations (certificat conformité), taxe foncière, et délai de disponibilité.

Toutes ces vérifications vous permettront de rédiger une offre d’achat ou un compromis éclairé et d’intégrer les éléments décisifs dans les clauses contractuelles.

Checklist rapide pour une visite efficace

  • Vérifier documents : DPE, plomb, amiante, état des risques, procès‑verbaux copropriété.  
  • Contrôler équipements : chauffage, toiture, menuiseries, plomberie, électricité.  
  • Noter signes d’humidité, fissures, odeurs, isolation.  
  • Demander coûts : charges copropriété, taxe foncière, consommation énergétique.  
  • Vérifier situation juridique : hypothèque, servitudes, conformité urbanisme.  
  • Prévoir expertise si doute sur l’état technique.

Financer son premier achat immobilier : calculer et optimiser son budget

Évaluer correctement le financement est une clé pour réussir votre premier achat immobilier. La capacité d’emprunt dépend de vos revenus, de vos charges, du taux d’endettement que la banque acceptera et de la durée d’emprunt choisie. Pour une simulation de financement réaliste, incluez l’apport personnel, mais aussi les frais annexes (frais de notaire, frais d’agence) et les charges récurrentes post‑achat. Les banques comparent également la stabilité de vos revenus et la qualité du dossier bancaire (historique bancaire, épargne, CDI ou contrat stable).

Les types de prêts disponibles permettent d’optimiser le montage financier :

  1. prêt immobilier classique à taux fixe ou variable,
  2. prêt à taux zéro (PTZ) pour les primo‑accédants sous conditions,
  3. prêt conventionné ou prêt d’accession sociale (PAS) pour les ménages éligibles,
  4. prêt Action Logement pour les salariés.

Les aides locales ou dispositifs spécifiques peuvent compléter l’apport et faciliter l’octroi du prêt. Faire un diagnostic financier ou une simulation de prêt auprès d’un courtier ou d’un conseiller bancaire vous aidera à comparer les offres, comprendre le coût total du crédit et évaluer la meilleure stratégie (durée, assurance emprunteur, différé éventuel).

Point de vigilance : l'assurance emprunteur

N’oubliez pas le poids de l’assurance emprunteur et des garanties demandées (hypothèque, caution) sur le coût global. Une bonne optimisation du financement passe par la comparaison des taux, la négociation des conditions et la mobilisation des aides disponibles pour diminuer le recours à l’apport personnel.

Le rôle de l’apport personnel et les alternatives pour acheter sans apport

L’apport personnel rassure la banque et peut faciliter l’obtention de meilleures conditions (taux, acceptation, frais). Il sert à couvrir une partie des frais de notaire et à diminuer le montant emprunté. Toutefois, acheter sans apport est possible : le prêt à taux zéro (PTZ) pour les primo‑accédants, le prêt Action Logement, le prêt d’accession sociale ou le prêt conventionné peuvent réduire voire compenser l’absence d’apport.

Pour convaincre un établissement financier, constituez un dossier bancaire solide : bulletins de salaire, relevés bancaires propres, gestion de l’épargne, absence d’incidents. Les garanties demandées (cautionnement, hypothèque) peuvent être adaptées pour pallier l’absence d’apport.

Par ailleurs, pour un investissement locatif, des dispositifs fiscaux peuvent rendre le montage plus attractif car la fiscalité et les loyers attendus entrent en jeu dans l’analyse de remboursement.

Comprendre les frais annexes et les charges récurrentes à anticiper

Au‑delà du prix d’achat, le coût réel du projet inclut plusieurs frais annexes qu’il faut budgéter : frais de notaire (droits de mutation et émoluments), frais d’agence immobilière si achat par intermédiaire, éventuels coûts de dossier bancaire, et garanties (hypothèque, caution).

Après l’achat, prévoyez la taxe foncière, les charges copropriété si applicable, l’assurance habitation et les dépenses d’entretien ou travaux.

La première année peut aussi comporter des dépenses ponctuelles : déménagement, ameublement, mise aux normes, ou remplacement d’équipements. Ces éléments doivent être intégrés dans la simulation prêt pour éviter un taux d’effort sous‑estimé.

Principaux postes de coûts à prévoir

  • Frais de notaire : variables selon ancien/net.  
  • Frais d’agence : en général pour l’acheteur si mandat.  
  • Garantie prêt : frais d’hypothèque ou coût de caution.  
  • Assurance emprunteur : part souvent importante du coût total.  
  • Charges courantes : copropriété, entretien, taxes.  
  • Travaux & déménagement : prévoir une réserve de trésorerie.

Le processus d’achat immobilier : étapes et conseils pour sécuriser sa transaction

Réaliser un premier achat immobilier implique de respecter un enchaînement d’étapes juridiques et administratives pour sécuriser votre projet et obtenir l’acte de propriété.

Après une offre d’achat acceptée, les parties signent généralement une promesse de vente ou un compromis de vente : cet avant‑contrat fixe le prix, la date de signature envisagée et le montant du dépôt de garantie (séquestre).

Le compromis engage l’acheteur et le vendeur dès sa signature, sous réserve des clauses prévues. L’obtention du prêt immobilier est l’une des conditions majeures ; sans elle, la clause suspensive permet de se dégager sans pénalité.

Pendant la période entre compromis et acte authentique, la banque instruit le dossier, réalise l’étude de faisabilité et peut demander des garanties (hypothèque, caution). L’assurance emprunteur est habituellement exigée par l’établissement prêteur : elle sécurise le remboursement en cas d’accident de la vie.

Le notaire prépare l’acte authentique, vérifie les titres de propriété, l’absence de charges non déclarées et les servitudes. Une fois toutes les conditions remplies (levée des clauses suspensives, obtention du prêt), la signature chez le notaire officialise le transfert de propriété et la remise des clés.

Pour sécuriser l’achat, négociez des délais réalistes (obtention du prêt, réalisation de travaux), conservez des traces écrites (emails, PV de visite) et évitez d’accepter des promesses orales. Veillez aussi à la lecture attentive des documents fournis par le vendeur (diagnostics immobiliers, procès‑verbaux de copropriété, carnet d’entretien) afin d’intégrer tout élément dans les clauses du compromis.

L’importance du compromis et des clauses suspensives dans la sécurité du projet

Le compromis de vente est l’outil le plus protecteur pour l’acheteur lorsqu’il comporte des clauses suspensives adaptées. La clause d’obtention du prêt est essentielle : elle indique le type de prêt attendu (montant, durée, taux plafond) et le délai d’obtention. Sans accord bancaire dans ce délai, l’acheteur peut se rétracter sans perdre le dépôt de garantie.

Autres clauses utiles : l’absence de vice caché identifié ultérieurement, l’obtention des autorisations d’urbanisme (pour travaux ou division) ou la non‑existence de procédures en copropriété. Il est recommandé de prévoir une clause pénale encadrant les indemnités en cas de désistement ou de non‑respect des engagements.

Négociez également le montant et les conditions du dépôt de garantie (généralement 5 à 10 % du prix) et le délai de rétractation légal (10 jours pour un particulier en France après signature du compromis).

Pour un projet immobilier neuf, veillez à la mention du délai de livraison et des garanties (garantie décennale, assurance dommages‑ouvrage) dans le compromis ou le contrat de réservation.

Le rôle du notaire et les documents indispensables pour finaliser l’achat

Le notaire assure la sécurité juridique de la vente : il vérifie la validité des titres, rédige l’acte authentique et procède aux formalités d’enregistrement et de publicité foncière. Avant la signature définitive, il réclame au vendeur des documents essentiels : titre de propriété, diagnostics immobiliers complets, procès‑verbaux d’assemblées générales (pour un lot en copropriété), état hypothécaire et servitudes, permis de construire le cas échéant, et attestation de conformité pour les travaux réalisés.

Côté acheteur, préparez rapidement les pièces pour l’instruction du prêt et la rédaction de l’acte : pièces d’identité, justificatifs de revenus et de domicile, contrat de mariage le cas échéant, RIB, dernières quittances de loyer si applicable.

Après signature de l’acte authentique, le notaire procède à l’enregistrement, calcule et prélève les frais de notaire et organise la publication du transfert au service de la publicité foncière. L’acte de propriété vous sera ensuite adressé : conservez‑le précieusement.

Checklist des documents à fournir au notaire par l'acheteur

  • Pièce d’identité et justificatif de domicile  
  • Trois derniers bulletins de salaire, avis d’imposition  
  • Compromis de vente signé, diagnostics fournis par le vendeur  
  • Contrat de mariage ou convention de PACS si applicable  
  • RIB pour versement du dépôt et gestion des fonds

Devenir propriétaire : vivre sereinement son accession à la propriété après l’achat immobilier

L’acquisition ne s’achève pas à la remise des clés : bien gérer son nouveau statut de propriétaire est central pour préserver son patrimoine immobilier et limiter les risques financiers.

La première démarche est de souscrire les assurances adaptées : l’assurance multirisque habitation protège le logement (incendie, dégâts des eaux, vol) et la responsabilité civile.

L’assurance emprunteur, souvent exigée par les banques, reste un pilier pour sécuriser le remboursement en cas d’incapacité, d’invalidité ou de décès.

Pour un logement acquis neuf ou après travaux, vérifiez l’existence des garanties constructeurs (garantie décennale, garantie de parfait achèvement) et, si besoin, la souscription d’une assurance dommages‑ouvrage.

La gestion quotidienne implique de suivre les charges de copropriété si vous êtes en appartement : participation aux assemblées générales, respect du règlement de copropriété, dialogue avec le syndic et anticipation des appels de fonds.

En maison individuelle, anticipez l’entretien régulier (toiture, isolation, système de chauffage) et prévoyez un fonds pour travaux. La fiscalité locale (taxe foncière, taxe d’habitation résiduelle pour certains cas) doit être inscrite dans votre budget annuel pour éviter les mauvaises surprises.

Assurances et garanties : protéger son bien et ses finances

Pour sécuriser votre patrimoine, souscrivez une assurance habitation multirisque couvrant les risques courants et, si vous mettez le bien en location, adaptez le contrat (garantie loyers impayés, assurance propriétaire non occupant).

L’assurance emprunteur, souvent négociable, représente un levier d’optimisation (délégation d’assurance possible pour réduire le coût). En cas de sinistre, respectez les délais de déclaration à l’assureur, conservez les preuves (photos, devis) et suivez la procédure d’expertise.

Pour les biens neufs ou rénovés, vérifiez les garanties légales : la garantie décennale protège contre les désordres compromettant la solidité ou la destination du bâtiment ; la garantie biennale couvre le bon fonctionnement des éléments d’équipement.

L’assurance dommages‑ouvrage, parfois obligatoire, permet une indemnisation rapide avant d’engager la responsabilité des constructeurs.

Checklist des assurances et démarches en cas de sinistre

  • Souscrire multirisque habitation et vérifier franchises et garanties  
  • Vérifier ou déléguer l’assurance emprunteur pour optimiser le coût  
  • En cas de sinistre : déclaration dans les délais, prise de photos, faire établir un constat et obtenir devis expert  
  • Conserver tous les échanges avec l’assureur et suivre la procédure d’indemnisation

Gérer son logement au quotidien : entretien, charges et fiscalité

Organisez un calendrier d’entretien (chaudière, ramonage, contrôles électriques) et prévoyez une réserve financière pour les travaux non prévus. Si vous êtes en copropriété, consultez régulièrement les comptes et PV d’assemblées générales, anticipez les travaux votés et vérifiez la santé financière du syndic pour éviter des appels de fonds soudains.

Pour les travaux de rénovation énergétique, renseignez‑vous sur les aides mobilisables (certificats d’économies d’énergie, aides locales) qui peuvent réduire le coût.

Côté fiscalité, notez les échéances de la taxe foncière et déclarez correctement tout revenu locatif si vous transformez votre résidence en investissement. Tenez à jour votre budget charges (eau, électricité, assurance, charges copropriété) et révisez annuellement votre taux d’effort pour garder une marge de sécurité.

Enfin, pour protéger durablement votre patrimoine immobilier, pensez à planifier sa transmission (testament, donation, démembrement) en consultant un professionnel.

Checklist gestion courante et budget

  • Établir un budget annuel charges + travaux (réserve 5‑10 % du budget logement)  
  • Calendrier d’entretien (chaudière, contrôle électricité, toiture)  
  • Participation régulière aux AG de copropriété et lecture des PV  
  • Vérifier éligibilité aides travaux (rénovation énergétique) et conserver devis/factures pour la fiscalité

Investir pour devenir propriétaire : stratégies avantageuses et dispositifs fiscaux

Investir pour devenir propriétaire peut permettre de concilier constitution de patrimoine immobilier et optimisation fiscale. Avant tout, calculez la rentabilité attendue (rendement brut et net) en prenant en compte prix d’achat, frais, loyers prévisionnels et fiscalité locale. La stratégie peut viser le cash‑flow (revenus locatifs couvrant les mensualités) ou la valorisation à long terme (plus‑value).

Pour un premier achat orienté investissement immobilier, privilégiez des zones à forte demande locative, une bonne desserte et des critères recherchés (proximité transports, écoles). Pensez également à la gestion : location en meublé (LMNP/LMP), location nue, ou via une SCPI, car le statut fiscal influence nettement la rentabilité et les charges déductibles.

Plusieurs dispositifs fiscaux permettent d’améliorer le rendement ou d’acheter sans apport en optimisant le montage financier. La loi Denormandie, par exemple, cible la rénovation dans l’ancien dans certaines villes.

D’autres mécanismes comme le déficit foncier (sur biens loués nus) permettent de déduire des travaux importants du revenu foncier. Enfin, l’effet de levier du crédit reste central : emprunter pour investir peut augmenter la rentabilité nette après impôts.

Avant de vous engager, simulez différents scénarios (durée du prêt, vacance locative, hausse des charges), et mesurez les risques (impayés, travaux imprévus, évolution des taux). Faire appel à un conseiller Optimhome ou un expert en investissement locatif vous aidera à sécuriser le montage, mobiliser les aides (prêt Action Logement, PTZ si applicable), et choisir la stratégie la plus adaptée à votre profil de primo‑accédant ou investisseur.

Les dispositifs et prêts aidés pour faciliter l’accession à la propriété

Existe-t-il des aides au premier achat immobilier ? Au‑delà de la défiscalisation, plusieurs prêts aidés aident à acheter ou investir sans apport ou avec un apport limité : le prêt d’accession sociale (PAS) destiné aux ménages modestes, le prêt Action Logement (taux préférentiel pour salariés), et le prêt conventionné qui permet d’accéder à certaines aides au logement. Le prêt à taux zéro (PTZ) peut compléter le financement pour les primo‑accédants réalisant une résidence principale, sous conditions de ressources et de zonage.

Le montage financier peut associer plusieurs prêts (par exemple PTZ + prêt principal + prêt action logement) pour réduire le montant emprunté à taux classique. Pour sécuriser l’octroi, soignez votre dossier bancaire en y joignant les pièces demandées (bulletins de salaire, relevés, bilan d’épargne) et comparez les garanties (hypothèque vs caution).

La délégation d’assurance emprunteur et le recours à un courtier peuvent diminuer le coût global du crédit. Enfin, des aides locales ou subventions peuvent parfois constituer un apport indirect : renseignez‑vous auprès des collectivités et du réseau Optimhome pour mobiliser toutes les options.

Checklist rapide des dispositifs d'aide pour acheter une maison et prêts à envisager

  • Vérifier éligibilité Denormandie (zonage, plafonds loyers/ressources).  
  • Étudier PTZ pour résidence principale si primo‑accédant.  
  • Consulter prêt Action Logement pour salariés et PAS pour revenus modestes.  
  • Simuler montages combinés (PTZ + prêt principal).  
  • Comparer garanties (caution, hypothèque) et coût assurance emprunteur.  
  • Demander conseil à un mandataire immobilier Optimhome.

L’accompagnement d’un conseiller immobilier Optimhome pour devenir propriétaire en toute sérénité

Acheter un bien immobilier est un projet majeur qui ne s’improvise pas. Sans l’accompagnement d’un professionnel, les primo-accédants risquent de passer à côté de points essentiels : vérification juridique du bien, estimation juste du prix, clauses de protection dans le compromis, ou encore anticipation des coûts réels après l’achat. L’expérience et l’expertise d’un conseiller immobilier Optimhome permettent d’éviter ces écueils et de sécuriser chaque étape.

Avec son implantation locale, le conseiller Optimhome connaît parfaitement le marché immobilier de votre secteur : prix au m², potentiel de valorisation, quartier à privilégier selon vos besoins. Son rôle est de vous aider à trouver le bien qui correspond vraiment à vos critères, tout en respectant votre budget et vos priorités de vie.

Mais son accompagnement ne s’arrête pas à la recherche : il vous guide dans les négociations, vous aide à analyser les diagnostics immobiliers, et vous conseille sur les démarches administratives et financières.

Grâce à ce suivi personnalisé, vous avancez avec un partenaire de confiance qui défend vos intérêts et maximise vos chances de réussir votre premier achat immobilier. Contactez dès maintenant un conseiller immobilier Optimhome pour concrétiser votre projet d’achat et devenir propriétaire sans mauvaise surprise.


Conclusion — 5 points à retenir pour devenir propriétaire et réussir son premier achat immobilier

1. Devenir propriétaire via un investissement locatif peut conjuguer patrimoine immobilier et optimisation fiscale, mais nécessite un scénario chiffré et réaliste.

2. La loi Denormandie et autres dispositifs sont des leviers intéressants pour réduire l’impôt si vous respectez les conditions d’éligibilité et le zonage.  

3. Acheter sans apport est possible grâce aux prêts aidés (PTZ, PAS, Action Logement) et à un dossier bancaire solide, mais un apport personnel est toujours préférable.

4. Anticipez tous les coûts (frais annexes, charges copropriété, travaux) et simulez plusieurs scénarios de rentabilité et de risques.  

5. Faites‑vous accompagner (courtier, notaire, conseiller Optimhome) pour sécuriser le montage financier et juridique de votre premier achat immobilier.


FAQ : questions fréquentes sur l'accession à la propriété

Quelle est la première étape pour devenir propriétaire ?  

Évaluer sa capacité d’emprunt et définir clairement son projet immobilier (type de logement, localisation, priorité résidence principale ou investissement locatif).

Ai‑je besoin d’un apport personnel pour acheter une maison ou un appartement ?  

Non obligatoire, mais un apport facilite l’obtention du prêt et les conditions. Des alternatives existent (PTZ, prêt Action Logement, PAS) qui permettent d’acheter sans apport ou avec un apport réduit.

Quels sont les frais annexes à prévoir en plus du prix d’achat immobilier ? 

Frais de notaire, frais d’agence, garanties prêt (hypothèque ou caution), assurance emprunteur, taxe foncière, charges copropriété, entretien et travaux éventuels, déménagement.

Comment sécuriser mon achat immobilier ?  

Intégrer des clauses suspensives (notamment obtention du prêt) dans le compromis, vérifier diagnostics et situation juridique du bien, et recourir à un notaire pour la finalisation.

Quels dispositifs fiscaux peuvent m’aider à investir ?  

La loi Denormandie (ancien réhabilité), le déficit foncier, ou la location meublée (LMNP) sont des dispositifs à étudier ; complétez avec les prêts aidés (PTZ, PAS, Action Logement) selon votre situation.

Est-il encore possible de devenir propriétaire en 2025 ?

Oui, malgré un contexte de taux d’intérêt plus élevés et un marché tendu, il reste possible de devenir propriétaire en 2025. Les aides à l’achat immobilier, les négociations avec les banques et un projet bien préparé permettent d’accéder à la propriété.

Est-il rentable de devenir propriétaire ?

Devenir propriétaire permet de se constituer un patrimoine, d’éviter de payer un loyer à fonds perdu et de sécuriser son avenir. Même si le marché évolue, l’immobilier reste un placement rentable à long terme.

Quelles aides existent pour devenir propriétaire ?

Plusieurs dispositifs soutiennent les acheteurs : le Prêt à Taux Zéro (PTZ), les prêts conventionnés, les aides locales des collectivités et les dispositifs d’accession sociale. Ces aides varient selon les revenus, la localisation et le type de logement.

Quelles sont les conditions pour devenir propriétaire ?

Les banques examinent la stabilité professionnelle, le taux d’endettement (souvent limité à 35 %), l’apport personnel et la capacité de remboursement. Une bonne gestion financière et un dossier solide facilitent l’obtention d’un prêt.

Quelles sont les étapes pour acheter une maison ?

Les étapes clés incluent la définition du budget, la recherche du bien, la visite, la signature du compromis de vente, l’obtention du prêt immobilier et la signature de l’acte authentique chez le notaire.

Devenir propriétaire ou rester locataire : que choisir ?

Tout dépend du projet de vie. Acheter permet de se constituer un patrimoine et de stabiliser ses charges, tandis que louer offre plus de souplesse géographique. L’arbitrage dépend de la durée de séjour prévue et des priorités personnelles.



Auteur de la publication

Fabrice DOBROWOLSKI, Directeur de l’animation du réseau Optimhome

« Profitez de mes conseils d'expert, basés sur de nombreuses années d'expérience dans l'immobilier, pour garantir la réussite de votre projet d'achat ou de vente. »


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